mardi 1 septembre 2015

A night in Burgos streets

Le temps d'une nuit, l'histoire de quelques heures, j'ai pu profité de l'ambiance et des senteurs de Burgos, Espagne.
Découvrir une ville la nuit la rend quelque peu spéciale. Un côté mystérieux qui cache le reste de ses secrets. Elle donne un aperçu grossier (mais merveilleux) de ses trésors sans se dévoiler au grand jour. Toutefois, une vie nocturne en dit parfois bien plus qu'on ne l'imagine.

Burgos m'a charmée par son architecture, sa vieille ville et sa vie de village qui se réveille la nuit. Les bars à tapas tous les 10 mètres, la cathédrale illuminée, les fanions dans les ruelles, les fenêtres et les couleurs des immeubles (#passionfaçade), les espagnols qui parlent forts, les français et les anglais en escale. 









 Première ville espagnole "visitée" (si on peut utiliser ce terme pour désigner le fait de se perdre à pied dans toutes les ruelles), première nuit espagnole, premier contact avec les us des espagnols. Quelques heures qui ne sont qu'une invitation à plonger plus profondément, plus intensément dans la vie (nocturne ou diurne) espagnole et d'en explorer toutes ses facettes. 

samedi 4 juillet 2015

Présenter Sciences Po Paris



Cinq mois après avoir présenté ce concours si redouté et exigeant, je me décide enfin à vous écrire cet article dans l'espoir de venir en aide (ne serait-ce que mentalement) aux bambinos un peu perdus qui s'apprêtent à faire face à ce long chemin de préparation. 
Avant de commencer, je tiens à préciser que je n'ai pas été reçue au concours. Mes conseils ne valent donc pas de l'or ; mais j'ai appris de mes erreurs et si je peux en aider d'autres à ne pas faire les mêmes, tant mieux.


Je m’adresse particulièrement à ceux qui envisagent de passer ce concours seuls, de se préparer sans organismes privées. Ça a été mon cas, les prépas privées étant bien trop hors-de-prix pour le budget de mes parents et n'assurant en rien une place chez les sciences-pistes. Si je peux cependant leur trouver un avantage, c'est d'apporter la "méthode sciences po" et de l’accompagnement aux élèves, tant psychologique (vous n'êtes plus seul) que scolaire.
Il existe aussi des préparations à distance, avec le CNED ou la Documentation Française. Celles-ci vous envoient les cours et les devoirs que vous pouvez retourner ensuite pour bénéficier d'une correction. Elles demandent donc de l'organisation personnelle et de la rigueur dans le travail. Encore une fois, ne les ayant pas testées, je ne saurais vous dire ce qu'elles valent.

Je reste toutefois convaincue qu'il est possible de réussir ce concours sans prépas privées. Par de la rigueur, de l'organisation, du talent, de l'intelligence, du travail et de la sueur, on arrive à tout. On ne choisit pas notre famille ni son niveau de vie. Et même si vous faites partie de cette classe moyenne qui n'a ni un capital (culturel et économique) favorisant pour Sciences Po Paris ni un statut permettant l'entrée par la passerelle ZEP, vous aussi pouvez prétendre à l'excellence.


  • Tout d'abord, posez-vous les bonnes questions.
 « Pourquoi cette école ? Pourquoi je veux présenter ce concours ? Suis-je prête à m’en donner les moyens ? Ce concours ou un autre ?  Suis-je prête à bosser plusieurs programmes en parallèles (1ère et Tle) ?  … »Une fois que vous aurez trouvé les réponses, vos réponses, vous avez défini votre motivation. Cette motivation dont vous aurez énormément besoin pour continuer à avancer. C’est en sachant pourquoi vous le faites que vous donnerez le meilleur de vous-mêmes.
J’ai perdu beaucoup de temps au début de l’année scolaire, juste avant les inscriptions au concours à décider si c’était vraiment ce que je voulais. Car Sciences Po Paris n’est pas, et ne doit pas être votre seule option. Les IEP de province sont une bonne alternative, le concours étant plus tard dans l’année, et davantage axé sur le programme du bac. Chacun a ses avantages, ses ambiances et seul vous pouvez savoir où vous vous épanouirez le plus.
 Une fois que votre motivation sera solidement établie, il sera aussi plus simple pour vous de faire face aux défaitistes, à ceux qui ne croient pas en vous, à toutes les mauvaises influences qui ne vous seront d’aucune aide, si ce n’est de vous faire douter. 

  • Vous interrogez le plus tôt possible vous permettra de ne pas vous y prendre à la dernière minute. Vous pourrez ainsi avoir le temps de faire les portes ouvertes, rencontrer des gens, vous renseigner sur le concours en lui-même et sur l’école et anticiper vos révisions

  •  Toutes ces informations vous seront utiles lors de l’élaboration de votre dossier. 
Je rappelle en effet que le concours Sciences Po Paris a la particularité de se dérouler en trois phases : dossier –épreuves écrites (desquelles peuvent être dispensés d’excellents dossiers) d’admissibilité – oral d’admission. Le dossier compte donc pour moitié dans l’admissibilité et vous ne pourrez pas connaître votre note avant de passer les épreuves. Portez donc une attention particulière à votre dossier. Il serait bête de partir avec un handicap (sans le savoir). 
Il s’agit donc de vous donner dans les bulletins de Seconde, Première, et du premier trimestre de Terminale ; de soigner votre lettre de motivation (c’est le moment de dévoiler votre plus belle plume) ; mais aussi de développer votre vie extra-scolaire. Recruter grâce au dossier permet ainsi de repérer des profils atypiques. Activités, sports, engagement associatif, engagement politique, voyages, tous ces composantes qui font de vous cet être formidable.
 Il ne s’agit pas d’être championne du monde d’athlétisme avec 18 de moyenne et d’avoir fait le tour du monde en bateau pour une association qui promeut l’éducation des enfants. Il s’agit de mettre en valeur ce qui vous rend particulier(e),  tout en faisant le lien avec l’école. Montrez ce que vous pourrez apporter à l’école et en quoi celle-ci est la meilleure orientation possible pour vous.

  • Passons ensuite aux révisions, la tâche la plus lourde, la plus effrayante mais aussi la plus importante et qui peut devenir la plus excitante. Pour cela, organisez-vous pour ne pas devenir fous
Je déconseille les comportements excessifs qui consisteraient à vous couper de toute vie sociale et toute activité de Septembre à Février. D’une part, parce que s’oxygéner le cerveau (par le sport notamment) est primordiale pour tous étudiant. D’autre part, pour ne pas se rendre malade de ce concours. Vous ne jouez pas votre vie. 
Travailler moins mais plus souvent est plus efficace que faire du bourrage de crâne. Pour allier au mieux la préparation du bac et du concours, vous pouvez, par exemple, réserver une heure par soir, un peu plus le week-end, de préparation spécifique au concours ; en accentuant dans les dernières semaines. Avec un peu de chance, le concours tombera après une semaine de vacances (parfait pour une dernière ligne droite). Cette préparation est un marathon est chacun sait ce qui est bon pour lui. 

  • Pour ce qui est de la matière, diversifiez les révisions :
  1. - Reprenez vos cours de première, relisez-les, fichez-les et connaissez-les. Si vous êtes en première, c’est le moment, en vue du concours l’année prochaine, d’approfondir vos cours d’histoire et de SES (si vous le prendrez en option). En plein dans le programme, vous pouvez ainsi commencer à travailler sereinement le concours et les résultats ne seront que bénéfiques.
  2.  Armez-vous d’un manuel d’histoire de première. Cette source fiable vous offre un autre regard sur le programme. 
  3. Dotez-vous d’annales solides. Celles-ci restent des compléments au cours. En SES, j’ai découvert un petit livre très bien fait et assez complet : « tout le programme en 50 fiches » aux éditions ellipses, il existe aussi pour l’histoire.
  4. Lisez des livres complémentaires, qui vous donneront un regard global, un nouveau regard sur certains points et nourriront votre copie. Faites une lecture active, c’est un conseil de prof : avec un surligneur, un crayon à papier ou un post-it à la main. Votre esprit s’attarde sur les points importants et vous pourrez au besoin le feuilleter plus simplement pour vous remettre les idées en tête. On trouve de bonnes bibliographies ici, ici ou encore ici. Je vous conseille de choisir vos livres en magasins, de lire la 4eme de couverture avant de les acheter. S’il y a des classiques, tous les livres proposés ne conviennent pas à tous. De la même façon, tous les livres ne se lisent pas de A à Z. Une grosse anthologie par exemple, peut se commencer puis se reprendre plus tard ou vous pouvez ne vous attardez  que sur certaines périodes pour étoffer votre étude. Vous vous devez d’approfondir vos cours, le concours étant un cran au-dessus du bac, à vous de mettre vos révisions un cran au-dessus.
  5. Diversifiez les sources. Pour stimuler l’intellect, les divers formes de mémoire, votre culture générale et rendre votre apprentissage plus amusant. Intéressez-vous à l’actualité, vous pouvez même la lire en langue étrangère pour pratiquer. Le site de l’INA  regorge d’archives d’histoires. Beaucoup de vidéos qui offrent un point de vue différent et une autre façon de traiter un sujet. Vous retiendrez sûrement plus, cette image, cette anecdote, que la suite chronologique de tous les évènements. Cultivez-vous, enrichissez-vous intellectuellement et faites de ce concours une opportunité, plus qu’un bagne.
  6. Enfin, lors des derniers mois, apprenez vos plans de cours d’histoire par cœur. Le mieux est de les faire vous-mêmes en suivant l’intitulé précis du programme du concours et en les nourrissant de tous ce que vous avez appris et découverts. Face à votre copie, vous n’aurez pas le temps de réfléchir à un plan, autant avoir un brouillon déjà clair et prédéfini, si je puis dire, dans votre tête.

  • Si ce concours est exigeant, c’est aussi parce qu’il est différent de ce que vous connaissez dans votre préparation pour le bac. 
Le format des épreuves est différent et demande donc une préparation spécifique. Il est donc important de prêter une attention particulière à la méthode. C’est, en partie, cette négligence de l’entrainement et de la méthode qui m’a fait défaut. Si vous vous préparez seul, c’est sur ce point je pense qu’il faut combler la différence  que créent les prépas privées.
Le blog d’Eric Cobast peut peut-être vous guider là-dessus.

  • Enfin, entourez-vous
en prenant part à des groupes Facebook, suivant des blogs spécialisés, en partageant … Qui sait, peut-être que quelqu’un de votre classe a le même projet ! Vous n’êtes pas seul et comme on dit, « tout seul on va plus vite, à deux on va plus loin ». 
Dans les dernières semaines, je faisais partie d’un groupe Facebook vraiment stimulant. C’était le Facebook du blog Sosciencespo tenu par des sciences-pistes. J’ai particulièrement apprécié la solidarité (partage de fiches ou de plans, aides, réconfort, etc) et les conseils des sciences-pistes qui sont passés là avant nous.  D’ailleurs je conseille aussi le blog, mine d’infos.
Mettez à profit les richesses qu’offrent internet et les réseaux sociaux.

  • Et pour finir, croyez en vous. On a tous la capacité d’être bon, seul le travail et la persévérance vous rendront excellents.

Bonne chance, et puisse le sort vous être favorable.

mercredi 29 avril 2015

Connasse


Le film de Connasse
Qui ne connait pas notre Connasse nationale ? Celle qui nous gêne en même temps qu'elle nous fait rire, celle qui dit tout haut ce que d'autres pensent tout bas, celle qui a redonnée à la caméra cachée ses titres de noblesse, celle que l'on admire pour son culot ... Après avoir déchaîné les foules sur Canal +, Camille Cottin dixit Camilla, The comtesse of Paris intra-muros, débarque sur grand écran. Princesse des cœurs, narcissique comme jamais, la langue toujours aussi bien pendue et prêtre à en découdre avec sa vie trop middle-class. Elle prend conscience qu'elle n'a pas la vie qu'elle mérite et part en quête de celle-ci. Déjà trop reconnue en France, elle prend Londres pour décor, se jouant ainsi des codes britsih et du franglais. 

 


En une heure et demi de caméra cachée, les scènes se suivent mais ne se ressemblent pas
L'actrice solo reste fidèle à son franc-parler et son culot légendaire. On décèle dans les réactions des seconds-rôles-malgré-eux toute la magie et l'humour de l'Homme. Connasse se fourre dans des situations presque inimaginables, va tellement loin dans ses requêtes que l'on en viendrait à se dire qu'avec un peu de culot on arrive à tout. Bien sûr, Camille Cottin reste bien assez charretière, crue, et sans-gêne pour pousser le comique, presque absurde, d'une caméra cachée à son summum. 
Toutefois si Camilla s'est d'abord exilé outre-manche, c'est en quête du Prince Harry. Une quête presque inimaginable pour le "bas-peuple" mais qui la mènera bien loin. D'après son aura magnifique, il lui suffit seulement de croiser son regard pour le faire tomber dans filets. Encore faut-il croiser son regard.




Un format long-métrage différent (mais pas tant que ça) des épisodes thématiques de 1min50
Camille Cottin passe du petit au grand écran mais ne délaisse toutefois pas le sketch d'une caméra cachée. C'est un film-sketch. Les scènes s'enchaînent ; chacune à prendre dans son entité. Le fil conducteur de la recherche royale (ou plutôt princière), peut-être trop léger se fait parfois oublier. C'est celui qui donne le ton mais on en resterait presque sur sa fin. Je ne dis pas que l'histoire n'est pas traitée dans tous les recoins possibles. Je fais seulement la distinction entre un film fiction et ce film tournée en caméra cachée car ce dernier n'est tout simplement pas fait pour ça. Chaque scène est en lien direct avec le synopsis, mais garde aussi l'authenticité d'un sketch. Finalement c'est peut-être même tout l'absurde de Connasse qui crée ce décalage et qui fait de la caméra cachée un format si particulier. C'est à mon goût la caméra cachée qui donne le ton de Connasse et elle réussit tant bien que mal à le conserver.

dimanche 25 janvier 2015

Les 7 infos de la semaine

La lettre d'Elsa Wolinski à son père

Après les attentats des 7 et 9 janvier c'est une France unie et révoltée qui s'est levée pour ses valeurs mais aussi pour rendre hommage aux victimes du terrorisme. Un voile de choc et de tristesse s'est posé sur l'hexagone pendant une semaine. La tristesse et la douleur, ce sont surtout ces familles déchirées qui l'ont plus profondément vécues. Il y a mille et une façons de rendre hommage à un proche ; parler avec son cœur est toujours la plus belle. La lettre d'Elsa Wolinski à son père le dessinateur Georges Wolinski est si émouvante. C'est une vision de plus sur l'attentat de Charlie Hebdo, celui de l'émotion d'une fille orpheline de père en quelques minutes. 
  

"Papa, t’es là ? Tu m’entends ?
Si t’es là, fais-moi signe... Envoie-moi un dessin.
Bon, ben, tu m’entends pas, je m’en doutais un peu.
Depuis que t’es mort, je me dis que tu dois enfin savoir si Dieu existe.
Tout le monde t’imagine dans le ciel, avec des filles à poil, en train de te marrer. Mais, moi, je sais ce que tu fais. T’as dû demander un stylo pour te dessiner une table, des feuilles et une lampe. Et puis, maintenant, tu te dessines un double de maman pour qu’elle soit avec toi, même là-haut. Ah, et puis tu t’es fait un lit pour ta sieste. C’est sacré, la sieste chez Wolinski.
Tu sais, je dors dans ton lit. J’ai d’ailleurs dû asperger ta chambre de mon parfum, ça sentait trop toi. C’est bizarre de me coucher à ta place. Mais je suis bien avec toi, là, dans tes draps. Maman t’avait offert un pantalon, t’as pas eu le temps de le mettre. Au fait, papa, j’en profite, est-ce que je peux te piquer tes pulls en cachemire ?
Papa, le journal ELLE m’a demandé de t’écrire une lettre, mais j’ai pas le temps. Le téléphone n’arrête pas de sonner, et je dois m’occuper de maman. Tu sais, elle s’en sort bien. Elle est très belle, comme à son habitude. Mes sœurs sont là aussi. On se serre les coudes. Et puis, on a des rendez-vous bizarres au 36, quai des Orfèvres pour récupérer tes affaires. J’avais l’impression d’être dans nos fameux polars qu’on aimait tant tous les deux. Et puis, aux pompes funèbres, pour te choisir une urne et un bout de terrain. On n’y pense pas, mais c’est plus difficile de choisir une urne qu’une paire de chaussures Prada. J’aimerais bien garder l’urne avec moi, je te baladerais dans mon sac, je te mettrais à côté de mon lit.
 Papa, je me pose la question. Est-ce que t’as souffert ? Parce que c’est ça qui m’angoisse, tu sais. J’ai peur que t’aies eu peur, j’ai peur que t’aies eu mal. Mais ils ne t’ont touché qu’à la poitrine, alors, les bobos, on les voit pas.
T’es beau, tu sais, avec ce drap blanc qui t’enveloppe. T’as même l’air heureux. J’ose pas trop m’approcher, tu m’en veux pas ?
Je voudrais être capable de t’embrasser pour la dernière fois, mais j’y arrive pas. J’ai demandé à la dame de l’Institut médico-légal si on pouvait t’empailler mais elle m’a dit que c’était pas possible.
Papa, on dirait que tu dors.
Mais tu dors pas, t’es mort.
Pour dehors, Wolinski est vivant.
Mais, pour moi, t’es plus là.
Elsa a perdu son papa. "


L'humanitaire française enlevée en Centrafrique est rentrée à Paris

L'humanitaire française Thérèse "Claudia" Priest enlevée le 19 janvier, à Bangui, en Centrafrique, a été libérée, vendredi 23 janvier, ainsi que son collègue centrafricain le père Gustave. Arrivée en République centrafricaine le 6 janvier pour une mission de deux semaines pour le compte de l'ONG médicale catholique Codis (Coordination diocésaine de la santé), cette éducatrice spécialisée âgée de 67 ans avait été kidnappée, au cœur de la ville, par une milice chrétienne anti-balaka. (Le monde)
Elle a été accueillie par son mari, sa fille et le ministre des Affaires Étrangères Laurent Fabius sur le sol français ce dimanche 25 janvier.


Campagne contre le viol

Dans 8 cas sur 10, la femme connaît son agresseur. C'est un chiffre choc, c'est un chiffre réel, c'est un chiffre dénoncée par le Collectif Féministe contre le Viol. Un chiffre qui fait peut-être peur mais qui contre lequel il faut agir. Dans sa nouvelle campagne, le collectif brise les idées reçues et nous informe. Soyons à l'écoute des victimes.



#RipRicardo

Le surfeur brésilien Ricardo Dos Santos a trouvé la mort le mardi 20 janvier, après s'être fait tirer dessus la veille par des individus visiblement sous l'emprise de la drogue.

 


 A 14 ans, elle remporte les Winter X Games 

Chloé Kim, américaine, a remporté samedi l'épreuve de snowboard SuperPipe des WinterXGames à Aspen, dans le Colorado. A 14 ans, c'est une victoire historique car elle devient la plus jeune médaillée de l'histoire des X Games. 

Grèce : Syriza remporte les élections

C'est une victoire historique pour le parti de gauche radicale grec Syriza mené par Alexis Tsipras.
Le parti prévoit des réformes et des discussion avec l'Europe pour tenter de sortir son pays de l'austérité qu'il connaît depuis 2008, parmi lesquelles : 
  •  Rétablir l'électricité à trois cent mille ménages
  • Création de 300 000 emplois
  •  Salaire minimum à 751 euros
  • Gratuité des soins de santé pour tous
  • réouverture de l'ERT (groupe audiovisuel public)           

Discours d'Obama au Congrès

Le président américain a prononcé, mardi, son discours annuel sur l’état de l'Union devant le Congrès, à majorité Républicaine. 
  • Économie : Obama promet de s'attaquer au inégalités
  • Cuba : lever l'embargo économique
  • Terrorisme : hommage à Charlie Hebdo et plan de lutte antiterroriste
  • Nucléaire iranien : contre de nouvelles sanctions
  • Fermer Guantánamo
  • Russie - Ukraine : "les grandes puissances ne peuvent pas malmener les petites"